Tu me plais, je crois que je t’aime, dit honnêtement José Anaiço. Tu me plais aussi, et je crois que je t’aime aussi, c’est pour cette raison que je t’ai embrassé hier, non, non, ce n’est pas tout à fait ça, je ne t’aurais pas embrassé si je n’avais déjà senti que je t’aimais, mais je peux t’aimer encore bien davantage.