douceurs des terres face à la mer
le silence exalté des grillons
sur le murmure des vagues
que caressent les ailes
des oiseaux d'océan
;
mais à quoi bon tes mots, doux rêveur
quand tout autour les effacent
le vacarme de la haine
les cris du néant
l'indifférence
?
© Jean-Marin Wibaux