Ultime confrontation avec soi-même, portes qui se ferment aux souvenirs, aucun refuge, même le sommeil se mue en errance éprouvante pour prolonger un peu plus l’attente douloureuse du dernier voyage en solitaire.
photographie et petite poésie – jean-marin wibaux
Ultime confrontation avec soi-même, portes qui se ferment aux souvenirs, aucun refuge, même le sommeil se mue en errance éprouvante pour prolonger un peu plus l’attente douloureuse du dernier voyage en solitaire.