Apathique et oisive,
une porte baillait
à s’en décrocher les charnières
Dans le creux de sa serrure
sifflait un ronflement
Un œil y dormait
tout simplement
© jean-marin wibaux
photographie et petite poésie – jean-marin wibaux
Apathique et oisive,
une porte baillait
à s’en décrocher les charnières
Dans le creux de sa serrure
sifflait un ronflement
Un œil y dormait
tout simplement